vendredi 23 novembre 2007

Je ne peux pas m’en empêcher ..!

C’est comme …quand la boîte de chocolats est ouverte… IMPOSSIBLE de résister …Vous si ?? (hum...allez mettez donc une autre variable à la place de chocolat genre: "pot de nutella" "poivrons marinés de Véki", "bouteille de Gaillac", "5° saison de Six Feet Under" ...)

Je ne peux pas m'empêcher d'allumer mon petit ordi à tout bout de champ et d'aller grappiller encore et encore ... surtout quand j'ai plein d'autres choses à faire !!!

En écrivant « chocolats », là, je devrais bloquer, NORMALEMENT… ressentir le petit pincement … celui qui arrête le geste … celui de la culpabilité de ne pas respecter le Principe Élémentaire, celui que j’ai consciencieusement, laborieusement appris à éprouver à mes enfants (Sadique ??? Non! saine éducation!! ) :
Faire les choses dans l’Ordre d’Urgence (heureusement ils ont eu un père qui faisait sa part pour deux !!!)
Parce que justement j’aurais plein de choses à faire à propos du chocolat ! …

Me préparer à en parler par exemple, et pas n’importe où, à l’Université du Chocolat, hé oui messieurs dames (Ah bon ? ya quelqu’un qui lit ce blog ??) avec le chocolatier de la vénérable maison Boissier, et mon historien d’art préféré « Luis Belhaouari » rien que ça !

- Oh oui, Luis ! ce serait super de faire une intervention ensemble ! Merci pour cette proposition ! Parler de mon rapport de musicienne au chocolat ? Oui je vais adorer …

Heu oui, sauf que là, il faudrait peut être que j’y pense un peu « pour de vrai »…parce que la date se rapproche, se rapproche …

Parler du chocolat …devant un chocolatier ? Non mais qu’est-ce-qui m’a pris ? Encore un coup de bravache ! J’y connais rien en chocolat moi ! … enfin, un peu quand même …En tous cas, il faudrait, parce que j’en ai quand même … 12,5 kg à faire pour bientôt ! AH ! Encore un autre coup de folie !



C’est qu’il va falloir répondre aux commandes…
Alors au lieu de "divaguer" sur mon ordi, je pourrais commencer par tester ma nouvelle « Étuve Professionnelle » (la « Tempéreuse à Chocolat, n’est pas encore dans mon budget…)
« Véritable appareil de laboratoire répondant aux exigences des professionnels » (ça c’est presque moi) pour … « Tests bactériologiques par incubation de lames gélosées » …(Ça c’est l’emploi normal, moi je vais m’en servir – c’est une idée trouvée lors d'un ...grappillage – pour maintenir à 31° le chocolat tempéré …)

- Oh! j'ai encore le temps !

Je pourrais aussi « réviser mes ganaches » ! : Combien de temps déjà l’infusion de la menthe poivrée ? Et le miel ? Celui du Jura n’était pas plus crémeux ? Où avais-je acheté les pamplemousses bio déjà ? Et pour la ganache-Nutella pour Michel, c’était quoi les proportions ? et Flo, qu'est -ce qu'elle préférait déjà ? Ah oui caramel/beurre salé/pointe de café …Quel café j’avais choisi ? et quelle répartition …réPARTITION …
...

Et là encore NORMALEMENT en écrivant en ce moment ces lettres, il devrait recommencer le petit pincement … PARTITION … Revoir les … Choisir les … Envoyer les … Répéter les …Travailler les … Pour le CONCERT à Paris rien que ça !

Chocolatière – MUSICIENNE on a dit !

Avec le beau flyer que Fleury s’est décarcassé à faire … Il va falloir assurer …




Et avant, s’occuper des petits travaux annexes comme contacter les musiciens, proposer des dates de répétitions, confronter les agendas, réserver le studio pour la seule qui sera retenue, aller voir la salle, faire une fiche technique, trouver un sonorisateur, contacter l’éclairagiste, comptabiliser les réservations, envoyer les bios des musiciens, la bio du groupe, La plaquette ? Quelle plaquette ? La honte ! J’ai pas encore fait la plaquette depuis le temps ! Les photos, (Oh pardon Virginie! J’ai pas rappelé ... pas "eu le temps"...) Envoyer un release (un quoi ? ) à la Presse . Et puis une bio perso… »
- Vous avez une bio perso n’est ce pas ?
- Heu ...
- Toute simple, votre parcours de musicienne
- Oui, bien sûr, enfin …non !

Oh! ... j'ai encore le temps ...


D'abord, j’ai toujours fait un blocage sur cette histoire de « biographie à rédiger soi-même »…
- C'est ridicule !
- ...
- Indispensable ?

Mmm ...

Je commence par tailler mon crayon …avec mon beau taille crayon suisse forcément ... ah il en a taillé des crayons lui ! aussitôt machouillés ...
Et alors là ... machinalement ...(on y croit !!!) J 'ALLUME MON ORDI CHÉRI... (la boîte de chocolats vous suivez ? ) ... pour voir ...

...et je pioche, je pioche, je grappille, je grappille ...

La matinée se passe

- Je faisais quoi déjà ? ... Ah! la biographie!
C'est parti pour la lecture des biographies ("pour se donner une idée"...?)
Tiens ! Il a fait ça lui ? Et ça c'est qui ?
...

Elle fait des débuts remarqués à l’âge de ...
Après avoir obtenu à l’unanimité en ...
Elle se perfectionne auprès de ...
Elle découvre ainsi …. qui lui permettra de donner véritablement sa pleine mesure.
... suscite l’enthousiasme unanime de la critique.
... l’invitée de grands Festivals et se produit avec succès en France et à l’étranger.

Houla ... Déjà cette heure ?
Vite vite , rédiger quelque chose ...

  • A sa naissance, pendant que sa mère coupe seule le cordon, elle , elle coupe ... le sifflet de sa soeur qui s'imaginait la seule future diva de la maison.
  • A six mois, son père, de retour à la maison, lui chante "La Tactique du Gendarme". Elle en attrape un hoquet carabiné.
  • A 2 ans, pendant que son père se fait souffler dans les bronches par sa mère, elle compose sa 1° "Sérénade au Clair de Lune pour Asmathique précoce".
  • A 4 ans pour se faire pardonner, son père lui chante tout Tino Rossi.
  • A 5 ans elle fait pleurer tout le monde en racontant « La chèvre de monsieur Seguin » mais les console aussitôt en chantant « Heureux petit berger ».
  • A 6 ans elle assiste à la pâmoison de tous les auditeurs à l’écoute de sa sœur aînée chantant « Les Oiseaux dans la Charmille » d’Offenbach. De rage, elle décide de chanter « A la Pêche aux Moules » en mineur.
  • A 7 ans elle braille « le Roi Arthur avait 3 fils » à 2 voix dans la voiture avec toute sa famille.
  • A 8 ans, elle accompagne à l’orgue Bontempi « Du Gris que l’on Roule » dans les baptèmes - mariages et autres réunions familiales dans son Jura natal.
  • A 9 ans sa mère l’inscrit au conservatoire où elle s ‘émerveille de pouvoir « lire » la musique. Quand elle découvre qu’ « Ich liebe dich « de Beethoven comporte la même suite harmonique qu’Obladi Oblada, et qu’elle décide d’interchanger les accords, la moue horrifiée de Mme Arrigoni, son professeur de piano lui laisse entrevoir la complexité à venir de ses choix musicaux.
  • A 10 ans elle pédale sur l’harmonium de l’église de son village.
  • A 11 ans elle monte son premier groupe vocalo/intrumental en bricolant les arrangements au burin,et se fait fort de faire chanter à 4 voix tous les garçons et filles du village avec répétition obligatoire tous les samedi après midi, vacances comprises.
  • A 12 ans elle tombe en arrêt en découvrant dans son cantilège de 5° la basse obstinée chromatique de « la Mort de Didon » de Henry Purcell.
  • A 13 ans, elle accompagne « la Maison de Toutou » que chante son frère.
  • A 14 ans « Ich grolle nicht » (j’ai pardonné) de Franz Schubert que chante sa sœur
  • A 15 ans « l’éducation sentimentale » de Maxime le Forestier que chantent ses copines.
  • A 16 ans « Helpless » (impuissant) de Neil Young que chante son (petit) copain.
  • A 17 ans, elle fait le point …
  • A 18 ans, elle joue « Crystal Silence »(silence de cristal) de Chick Corea sur les déclamations hallucin(og)ées d’un ami (petit) poète dans une cave underground de Pontarlier, et « Mille regrets de vous abandonner » de Josquin Des Prés en costume d’époque dans le salon de Mr Berthier, dentiste de Lons le Saunier.
  • A 19 ans elle refait le point
  • On la retrouve à 20 ans aux maracas à Aix en Provence sur « Oyé como va »(coucou comment vas tu ?) de Carlos Santana, après les répétitions de « Lux Aeterna » (lumière éternelle) de György Ligeti avec le chœur de Musicologie, et entre le temps que lui laisse la rédaction de son mémoire universitaire sur « A la Pêche aux moules ou l’approche connexioniste de la perception de la tonalité par l’acculturation intervallique précoce »
  • A 21 ans elle se cherche : on la perd …
Houlala qu'est ce que je fabrique moi !

Bon pour la Bio, on verra plus tard ...
C'est pas urgent !
Ah ! si ???


-Procratinaquoi ??

-Meuh non ce n’est pas ça … ça, c’est quand "Camille" rend ses « essay » pathologiquement au dernier moment … Allez ma fille ! Organise-toi une bonne fois pour toute voyons ! N’accumule pas le retard, commence par les choses urgentes, fais une liste et raye au fur à mesure, ne repousse pas les choses gênantes, au contraire, procède dans l’ordre, tu seras beaucoup moins stressée ! comporte-toi comme une adulte !
- Moi ? Pfff ! rien à voir ! Tout ça ce ne sont pas des corvées pour moi … Des chocolats ? Un Concert ? Une intervention à l’université ? Reprendre la composition pour la suite du disque ? La rédaction de ma vie passionnante ?
- ...
- Je suis trop contente d’avoir toutes échéances !
- ... "Procrastination"
- Ah bon ? Quand même ?

Oui bon …
Mais c’est la faute à Ma Boite de Chocolats à Moi : Mon Ibook G4 connexion sans fil ….

Alors donc ….
Je finis pas m'emmêler toute seule dans les fils de mes messages-blog à rallonge ...
(J'ose à peine penser ce que ça doit être pour un lecteur qui aurait eu le courage
d'aller jusque là dans la quête du sens "Où veut-elle en venir" ?)


C'est vrai ça ! J’avais ouvert l’ordi pour quoi déjà ?

Raconter à quoi j'ai occupé l'immense vendredi du "Bon cette fois je m'y mets j'ai toute la journée"

- Avant de commencer, réglons juste les affaires courantes
et préparons vite fait notre atelier d'interprétation pour demain.
(Vous avez vu comment je me parle à moi-même ? Impressionnant non ?)

Je commence donc par le récapitulatif des chansons choisies pour l'atelier, dont la thématique est:« les dimanches dans la chanson ». (Avec mon bel esprit d'escalier, ça s'imposait non?


Après notre inépuisable « Gloomy Sunday », on a exploré d’autres trésors aussi hétéroclites que :
  • Come Sunday (Duke Ellington)

  • Quand on s’promène au bord de l’eau

  • Les enfants s’ennuient le dimanche

  • • Un dimanche (Salvador)
  • Sonntag (Brahms) pour essayer de réconcilier les Virginie/Catherine avec la langue allemande.
  • Demain je dors jusqu'à midi (Mireille)
On est loin d'avoir terminé tous les apprentissages ... Je réfrène donc bravement ma tendance (qu'on aura plus-que-décelée depuis longtemps si on est toujours en train de lire cette page) à GAVER tout le monde pour le prochain cours.

Là normalement, il y a largement de quoi faire … Je peux passer à autre chose … par exemple … appeler le photographe…rédiger une VRAIE bio …préparer l’intervention avec Luis …

Non non allez juste un petit coup … Par exemple :
Lancer une recherche de chanson dans Google avec « Sunday »... Ben voyons!

Tiens … C’est quoi ça ?
« Never on Sunday » ?


Mais c’est la musique… des « Enfants du Pirée » ? de Nana Mouskouri !
Ah Nana Mouskouri, qu’est ce qu’on en a pu nous en rebattre les oreilles à la maison !
- « Au moins elle, elle a de la voix ! Ah les filles si vous pouviez chanter comme elle !
Alors forcément, on apprenait tout par cœur ! Donc les enfants du Pirée, on me l’a fait pas ! les paroles c’est :
Noyés de bleu sous le ciel grec
Un bateau, deux bateaux,trois bateaux
S'en vont chantant
Griffant le ciel à coups de bec
Un oiseau, deux oiseaux, trois oiseaux
Font du beau temps

Les petits nenfants qui dansent sur le port... les visages d'anges ...les fabuleux rivages ... les bonnets oranges...



Et là qu’est ce qu’elle dit ma chanteuse américaine? (Eartha Kitt ici)
Houla ! mais ce n’est pas du tout pareil ! je comprends que ça ne soit pas passé à la télé !



Oh, you can kiss me on a Monday a Monday a Monday is very very good
Or you can kiss me on a Tuesday a Tuesday a Tuesday in fact I wish you would
Or you can kiss me on a Wednesday a Thursday a Friday and Saturday is best
But never ever on a Sunday a Sunday a Sunday cause that's my day of rest

Most anyday you can be my guest
Anyday you say but my day of rest
Just name the day that you like the best
Only stay away on my day of rest

Oh, you can kiss me on a cool day a hot day a wet day which ever one you choose
Or try to kiss me on a grey day a May day a pay day and see if I refuse
And if you make it on a bleake day a freak day or a week day
Well you can be my guest
But never ever on a Sunday a Sunday the one day I need a little rest
Oh, you can kiss me on a week day a week day a week day the day to be my guest


Mais alors "on m'aurait menti" ?
Qu'est ce que c'est que cette chanson ?
...


Et bien voilà.
J'ai TOUT.








Le texte en grec, même la phonétique, en allemand, en espagnol ...
Les photos, l'histoire de la chanson, le synopsis complet du film d'origine, le thème astral de Jules Dassin, (?) la partition de la version cha-cha en Eb ... la bio détaillée de la belle Mélina Mercouri ...


Sauf qu'on est samedi ...
Et ma bio à moi ...heu ...

- C'est malin !
- ...
- Et là maintenant, c'est fini le cours, t'as encore toute une soirée ! Il est encore temps d'appeler le photographe, d'écrire la bio, de ...
- Oui mais là c'est pas possible ! ... j'ai le blog à rédiger !!!






jeudi 22 novembre 2007

On dirait que ...

Alors ... on dirait que...
On dirait qu'il ferait trop froid dehors pour sortir, que de toutes façons par ces jours de grève il vaudrait mieux rester chez soi, et que pour les courses de Noel ce serait beaucoup trop tôt et que et que ... faute de pouvoir allumer la cheminée, vous allumeriez ... l'Ordinateur !!!

Non Patricia, pas "brûler" l'Ordinateur !!!

Allez allez on ne fuit pas à l'approche du combat ...

(Et puis c'est vrai, au moins rien que pour ça j'aime bien le mettre sur mes genoux c'est une vraie chaufferette) ...
Bon je sens que l'argument ne va pas peser lourd face à l'ampleur de la quête que je vais vous suggérer d'entreprendre, il va falloir une envie plus Noble , au delà de la bouillotte ... une envie Courageuse, Audacieuse mais Gratifiante donc Stimulante ... "Oui maîtresse"? Non ! Une envie Personnelle, celle de progresser toujours plus loin dans l'épaisse et sombre forêt de la Musique, par exemple en pouvant mieux travailler vos partitions-celles que je vous enverrais,celles qu'on travaille pendant les cours- et que zut le mini disque a encore planté (hein Iris) j'ai plus de piles et bien fini tout ça, l'envie de progresser en écoute, et pourquoi pas de vous lancer dans vos propres compositions-même-pas-peur, écouter comment elles sonnent, les partager avec les autres, les "éditer" et tout ... et que vous essayeriez de le faire pour de VRAI.

Et bien donc, si vous aviez cette envie, ce qui serait drôlement bien pour qu'on avance ensemble, - mais c'est sûr qu'il faudrait une grosse envie pour oser enfiler son armure et s'attaquer au monstre terrifiant, l'Ordinateur ...


Bon je reconnais, je fais la brave (nan c'est pas moi sur la photo ! ) mais je sais bien que parfois, comme monstre, il se pose là. Plutôt genre "Hydre de Lerne", j'te coupe une tête, pas le temps de faire la maligne qu'il y en a trois qui poussent aussi sec!

Ah L'hydre de Lerne ... c'était mon préféré :

Ce serpent d'eau à corps de chien possédait plusieurs têtes (leur nombre variant selon les auteurs) dont une immortelle. Ces têtes se régénéraient doublement lorsqu'elles étaient tranchées. De plus, l'haleine soufflée par les multiples gueules exhalait un poison radical, même durant le sommeil de l'animal. Le monstre ravageait le bétail et saccageait les récoltes...





Non restez! Ce sont de vieilles histoires tout ça ! la récompense sera à la mesure de l'ampleur du combat !

Et puis vous vous souvenez l'Hercule, il avait mis la tunique magique en peau de lion.

Et bien la voilà votre tunique ... allez voir sur ce site, c'est tout bien expliqué !

Il faut d'abord cliquer sur le site de téléchargement du petit logiciel "qui permet de faire tout ce que je vous annonce, gratuitement" et qui s'appelle le Finale NotePad .
En fait c'est la version légère et gratuite de l'énorme logiciel que j'utilise pour éditer toutes les partitions que l'on travaille ensemble.
Avec le NotePad, vous pourrez voir ces partitions, les faire défiler, les écouter etc...

1° On installe le logiciel (choisissez Windows ou Mac)
Vous arrivez sur le site de "Finale", vous choisissez "Free Download".
Ensuite ils vous demandent dans l'espace "new online customers" de creer un acompte: faite le en cliquant. C'est gratuit. (Vous rentrerez votre adresse mail et inventerez un mot de passe qui vous sera confirmé par mail en retour).Pour le reste cliquer sur "Remind me later" ...
Cette procédure est très bien décrite dans le TUTO 1 "tutorials" = mode d'emploi ..du CRDP de Bretagne...ils parlent du NotePad 2005 ... celui que vous allez télécharger c'est le 2007 (compatible avec Ma version) mais c'est la même chose. Ou dans le TUTO 2 du Doubs
Ce sont en fait des sites de l'Education Nationale qui mettent en ligne des notices explicatives. ...
2° Pour apprendre à utiliser les differentes fonctions, le rédacteur du blog vous renvoie aux TUTO 3 et TUTO 4 qui sont des fichiers PDF à télécharger, pour avoir une petite notice explicative pour une prise en main du logiciel plus complète ...

3° Et quand c'est installé ? Trinquez à ma santé !!! - heu ... méfiez- vous tout de même ... Même les vaillants combattants peuvent être dupés !

... Après en avoir terminé avec ses travaux (12 tout de même ...)Hercule épousa Déjanire.
Un jour, le centaure Nessos attaqua Déjanire pour la violer : Hercule le blessa avec une des flèches empoisonnées par le sang de l'Hydre. Malheureusement, le centaure mourant conseilla à Déjanire de prendre un peu de ce sang : c'était, lui dit-il, un puissant philtre d'amour. En réalité, il s'agissait d'un poison. Déjanire le conserva précieusement et, lorsqu'elle crut qu'Hercule était tombé amoureux de la princesse Iole, elle fit porter à son époux une tunique qu'elle avait trempée dans ce sang. À peine l'eut-il revêtue, qu'Hercule ressentit la brûlure du poison, si intense qu'il préféra mettre fin à la douleur en se jetant dans les flammes d'un bûcher funéraire.

Mais alors, ça voudrait dire qu'elle a quand même bien finie par l'avoir, l'Hercule ???

Heu ...vous en êtes où là ???

Oui mais quand même:

... Après sa mort, les dieux l'emportèrent sur l'Olympe et lui donnèrent comme épouse Hébé, déesse de la Jeunesse.

Moi j'ai un petit "Besame mucho" tout frais à 5 voix ... dès que vous avez tout installé, je vous l'envoie !!! C'est pas de la Récompense ça ???

lundi 19 novembre 2007

Embrasse moi beaucoup/Jeu du baiser pour frisquet novembre


On dit que tout aurait commencé à cause de lui, Enrique, Granados de son patronyme espagnol-catalan-, né en 1867.

Pianiste précoce, compositeur amoureux fou de son pays, il compose en 1911 un cycle de 6 pièces pour piano, les GOYESCAS, en hommage aux tableaux du "peintre le plus représentatif de l'Espagne" : GOYA.
L'une de ces pièces s'appelle: ".... la Maya y el ruiseñor", .... la jeune fille et le rossignol.


Les perspicaces solfégistes (qui ça ? où ça ?) auront-ils deviné où je veux en venir ??


Toujours est-il qu'il semblerait que la belle Consuelo Velasquez ...

...pianiste bardée de diplômes et chanteuse mexicaine, née 13 ans plus tard, ait été inspirée par ce morceau lorsqu'elle composa en 1941 la chanson qui allait faire le tour du monde ...




Le 1° enregistrement "jazz" du morceau, "40 mesures ABCAB, mainstream, latin ", nous dit l'érudit Philippe Beaudoin, a lieu à Buesnos Aires en 1943, par Oscar Aleman. depuis, il en a recensé ...165.

Et ce fut le feu vert de toutes les Reprises. Innombrables reprises ...

On comprend que la petite (taille) Consuelo était été une ardente militante pour les droits d'auteur des musiciens" ...
Comme avec "Quizas quizas quizas" Nat King Cole est un des 1° à "américaniser" la chanson.
Notre Francis Blanche lui ajouta sa propre version française


























Et Enrique et Consuelo que sont-ils devenus ?

Granados, musicien pédagoque renommé ayant rencontré peu de succès dans les différents opéras qu'il composa, eut l'idée d'adapter à la scène ses Goyescas.
Il fut décidé que l'opéra serait monté à Paris.
Or la 1°guerre mondiale mis fin à tout projet musical en France.
Il partit donc en 1916 avec toute la troupe de musiciens pour New York, et là, au Metropolitan, l'accueil fut extrêmement enthousiate.
Hélas, au retour, le 24 mars 1916, le navire qui ramenait tout le monde en Espagne fut torpillé par un sous-marin allemand, entre Folkstone et Dieppe !
Granados connut donc une mort en plein succès, mais brutale et prématurée (il avait 49 ans).

Consuelo quand à elle, malgré le succès de cette chanson qui changea sa vie, ne se détourna pas de la musique classique, fit même de la politique pendant une certaine partie de sa vie(elle fut députée).





Elle s'éteignit des suites "d'une déficience cardiaque", à 81 ans tout de même...

Vous trouvez pas qu'elle a un petit d'air d'Ava ici ?

Allez en avant pour le Grand Quizz ...
La plupart des morceaux sont de courts extraits (mais pas toujours ...)
A vous de jouer et de reconstituer la playlist.

Bon normalement - au vu des heures que j'y ai passées ...quoique ce ne soit dans mon cas hélas pas toujours un gage de réussite- tout devrait fonctionner ...sauf UN (grrr le rebelle)... j'arrange ça dès que je comprends le problème !!!

E si après TOUT ça, vous n'en avez pas assez, ben oui parce que ON NEN NA JAMAIS ZASSÉ comme on le sait ....et bien ...même si vous ne lisez pas le russe (???) filez sur ce SITE. C'est une MINE d'OR musicale.
Il y a plus de 100 versions téléchargeables intégralement (bon ça faudra pas le dire au fantôme de Consuelo ...)

Bonne écoute ...et bonne pioche !










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On gagne quoi ???
Beuh ...Un p'tit

vendredi 16 novembre 2007

Commentaire ? Pas commentaire ?

Comme Je Me le faisais remarquer à Moi Même ... ce blog manque désespérement de commentaires !!!
Alors, pour être sur qu'il ne s'agit pas d'une appréhension technique - (oui Camille ... nous sommes des zostralopitèks face à vous, nos petits nenfants, biberonnés à l'ordi!)- voici donc un mini mode d'emploi du " commentaire", donné ...par Camille, "à l'arrache entre deux ..cours (?)...(ou deux parties de crash team racing ???)

1. Cliquer sur "X COMMENTAIRES" avec x le nombre de commentaires, ici 1 par exemple ; c'est écrit juste en dessous du message et ca se souligne quand on passe la souris dessus."

2. Ecrire le message dans la fenetre "Enregistrer un commantaire"

3. Recopier les lettres qui apparaissent toutes penchées dans "vérification des mots"

4. Dans "choisir une identité" cocher "autre" et mettre son nom, laisser "otre page web" vide

5. Cliquer sur "PUBLIER COMMENTAIRE"

mercredi 14 novembre 2007

Dimanche Enchantant 2 Mambo ou Cha-Cha-Cha ?




Mambo ou Chachacha ? Beguine ou Rumba ? Machiche ou Samba ?

...ou comment faire monter la température salle Bach, un froid dimanche de novembre ... (cela dit, merci Catherine pour le travail préalable auprès des chauffagistes des Services techniques d'Étampes qui y a bien contribué !!!)





Non, ce n'est pas la rue Louis Moreau mais le 33 de la rue Blomet Paris XV°, l'adresse du lieu le plus "caliente" de la capitale en 1925 : Le Bal Nègre ...
On y croise Desnos, Picasso, Miro, Foujita, Prévert, Cocteau, Calder, Queneau, Maurice Chevalier ou Mistinguett ...

Cubanisme des années 30, folies du "typique" dans les années 50, tout le long de la journée on a suivi les traces des musiques sud américaines et caraibéennes jusqu'à Paris ...

"Après la vague du cubisme, Paris, subjugué par l'art noir, accueille à bras ouverts les musiciens afro-américains et antillais. Joséphine Baker et Sidney Bechet, stars de la Revue Nègre, triomphent en 1925 au music-hall des Champs Elysées, et quelques années plus tard, le clarinetiste martiniquais Alexandre Stellio popularise la biguine dans la capitale française".
Isabelle Leymarie. Cuban Fire. Paris, Editions Outre Mesure, 1997






On a commencé par quelques RUMBAS avec l'appel du vendeur de cacahuètes: "El Maniseiro"
"Mani, mani, caserita no te acuestes a dormi, sin comer un cucurucho de mani ! "




Chanson composée par Moises Simon en 1928, et dédiée à la charismatique chanteuse/danseuse cubaine Rita Montaner, installée à Paris, et créatrice de la 1° école de Rumba.
Elle s' exportera sous le nom du "Peanuts Vendor" (ici Perez Prado)...et à Paris, elle deviendra, dans la bouche de Mistinguett, la "Rumba d'amour", forcément!

On commence avec quelques petits pas ??(cliquez ici)




Autres Rumbas chantées:

"Aux îles du soleil" (par un matin tout gris, mon amour est parti ...)
"Brasileira" de Darius Milhaud (une rumba brésilienne !!!)

Puis les MAMBOS


Avatar du danzon, le mambo (mot d'origine bantoue signifiant "prière" ou "conversation avec les dieux") est créé au début des années 50 par le pianiste cubain Damaso Pérez Prado. Etabli au Mexique, avec son grand orchestre, il emprunte le ritmo nuevo issu du danzon et l'interpète avec des cuivres, une batterie et des riffs entraînants. Les bigs bands latins de New York : ceux de Machito, Tito Puente et Tito Rodriguez, reprendront le mambo avec des arrangements très élaborés

On recommence avec quelques petits pas ?? (cliquez ici)






En avant pour le "Mambo Italiano" écrit par Bob Merril en 1954
interprétée ici avec fougue par Rosemary Clooney (la tata de George !!!)




qu'André Salvet s'est empressé de traduire en français pour Dario Moreno ou Line Renaud ...


On continue justement avec un "Fox-mambo" de Dario Moreno, chanteur turc /mexicain (!) et son vibrant hommage à son pays natal: il cite tout de même le nom de la capitale "Istamboul" 26 fois ...

Istamboul, Istamboul !

Istamboul c'est Constantinople
C'est à Istamboul ou Constantinople
Que je suis allé un jour pour y découvrir le grand amour
Que l'on attend toujours

Istamboul ça n'est plus l'Europe
C'est à Istamboul ou Constantinople
Que je l'ai trouvée un soir qui flânait
Au milieu de la foule d'Istamboul

Le muezzin chantait en haut d'un minaret
Et tout le long du Bosphore
Je faisais déjà des rêves d'or
A Istanbul la vie était belle
C'est à Istamboul, je me le rappelle
Que mon coeur fut pris
Par les sortilèges de l'Asie
Je l'ai suivie dans la foule
Un soir sous le beau ciel d'Istamboul
Istamboul Istamboul Istamboul Istamboul

Istamboul c'est Constantinople
C'est à Istamboul ou Constantinople
Que je me voyais déjà arrivé au paradis d'Allah
Qui vous attend là-bas

Oh Istamboul ça n'est plus l'Europe
C'est à Istamboul ou Constantinople
Que je m'approchais en me faufilant
Au milieu de la foule d'Istamboul

Je n'savais comment traduire mes sentiments
Mais en riant elle me dit :
"Comme vous, j'arrive droit de Paris !"

Oh Istamboul c'est Constantinople
C'est à Istamboul ou Constantinople
Que nous avons pris le train qui nous ramène à Paris
Loin du bruit et de la foule, c'est bon de rêver à Istamboul !

Istamboul ou Constantinople
Le bonheur est là, si bon, à sa porte,
C'est bien inutile d'aller le chercher
Je ne sais où Istamboul ou Tombouctou
L'amour il est là tout près de vous

Istamboul, Istamboul !



Je ne résiste pas au plaisir de rapporter ici l'histoire de la naissance de " Tequila", morceau suivant travaillé, mambo-rock, planétaire succès de Chuck Rio (de son moins exotique nom : Daniel Flores), histoire de rappeler que les recettes d'un "succès" sont bien mystérieuses!



'Tequila' est apporté pour la session par un des musiciens : Danny FLORES, un jeune mexico-américain de 29 ans qui jouait aussi bien du saxophone que du piano (il a d'ailleurs joué des deux sur 'Train To Nowhere'). FLORES se produit dans des clubs de Los Angeles depuis le début des années 50 et sait pratiquement jouer toutes les sortes de style. A cette époque, il est sous contrat avec le label de Jules Bihari RPM, effectue des sessions pour différents labels et joue dans des clubs de Long Beach avec son trio, le DANNY FLORES TRIO, composé de Gene ALDEN à la batterie, Buddy BRUCE à la guitare, et FLORES au saxophone.
Pour la session 'Tequila', BURGESS est à la guitare rythmique et la basse est tenue un musicien de session de 40 ans, Cliff HILLS. Les musiciens attendaient si peu de cette session, qu'ils repartent avant même d'avoir pu entendre l'enregistrement final. Le trio repart pour jouer le soir à son habituel concert au Hideway Club de Long Beach. Le simple 'Train To Nowhere / Tequila' sort le 15 Janvier 1958 sous le nom de CHAMPS (nom inspiré du cheval de Gen Autry, Champion). Danny FLORES, encore sous contrat avec RPM, prend le surnom de Chuck RIO. (Mais elle touchera tout de même, plus tard la moitié des droits revenant à Challenge).

Après quelques semaines, les stations de radio commencent à diffuser 'Tequila', qui est rapidement repris par Eddie Platt sur ABC-Paramount. Les deux versions grimpent dans le haut des charts en février. La version des CHAMPS atteind le N°1 en mars 1958 et y reste cinq semaines. Le titre passe également quatre semaines en haut sur chart R&B et gagne le Grammy award de la meilleure performance rhythm'n'blues de l'année. Le groupe entre dans le Livre des Records comme le premier groupe à être N°1 à sa première réalisation.

Le succès de 'Tequila' provoque une grosse demande pour les CHAMPS et Dave BURGESS fait équipe avec le groupe de Danny FLORES pour répéter. Le guitariste de FLORES, Buddy BRUCE est remplacé par Dale NORRIS, pendant que Joe BURNAS vient remplacer Cliff HILLS. Malheureusement, les premières apparitions en public des CHAMPS sont un désastre. Leur jeu de scène est nul. Mais ils s'améliorent au fil des concerts et ils tournent beaucoup. Ils font notamment une tournée en compagnie de Gene Vincent et Ses Bluecaps et des Kuf-Linx, dont leur version de 'So Tough' est N°75 dans les charts, donnant ainsi deux hits consécutifs pour Challenge.




On continue avec les CHA-CHA-CHA (dont "le plus beau tango du monde" est un exemple comme son nom ne l'indique pas ! )
On dit que le mot "cha-cha-cha" serait né à l'écoute du bruit des pas des danseurs frottant sur le sol !

A Cuba, constatant que le mambo, avec ses syncopes complexes, était difficile à exécuter pour certains danseurs, le violoniste Enrique Jorrin, membre de la charanga Orquesta América, en ralentit le rythme. Il crée, vers 1953, le cha cha cha, plus carré et caractérisé par une sorte de hoquet sur le troisième temps. Comme le mambo, le cha cha cha se répandra comme une traînée de poudre dans le monde entier.

C'est peut être le rythme de danse qui , en France, a engendré le plus d'avatars ...un peu oubliés non?

- "Cha cha du coeur" (Jean Constantin), "Cha-Cha des thons", "Cha-Cha-Cha" (Dalida)
Car je sais bien ce que tu penses
Quand tu es près de moi Tu oublies toutes les autres danses Car rien ne vaut le twist et le cha cha
... ou Michel Jonasz,
Elle est folle de lui Lui il est dingue de sa geisha cha cha Tous les samedis soir ils vont danser le cha-cha-cha

Sans parler du "Shah Shah Persan" des Frères Jacques

C'était un Shah, tait un Shah, tait un Shah, Un Pacha plein d'argent, Shah Persan si puissant Que dans son, que dans son, que dans son, son harem Toutes les femmes lui disaient Shah Shah Shah comme on t'aime ! Mais malgré ses mi-mi, ses mi-mi, ses milliards, Le Pacha, Shah Shah Shah, avait bien le cafard, Des pé-pé, des pé-pé, des pétroles il était saturé... Car son rêve... C'était d'voir pousser l'gazon... Devant son pa-pa... Son palais en toutes saisons... Mais chaque fois qu'il creu-creu, qu'il creusait des trou-trous Pour trou-trou, pour trou-trou-la-itou, pour trouver Un fi-fi, un fi-fi filet d'eau, du pé-pé du pétrole Jaillissait aussitôt. Et les sou, les sou-sou, les sourciers, Les sorciers voulaient tous démi-mi, démi-mi, ssionner, Et le pa, le pa-pa, le Pacha Shah Shah Shah languissait...



Qui va faire oser faire revivre les : "Voulez -vous Cha-Cha", "La femme et le Moustique", "Chiqui- Chiquita", "Ma vie est un beau dimanche", "Bébert Cha-Cha"...?

Nous on s'est contenté d'un "Non Monsieur" cha-cha franco-espagnol et d'un "Perdido Cha-Cha".

Vous voulez danser encore un peu ?
Allez voir cette page, c'est incroyable il y a tout ! Il y a même des pieds qui bougent ...(enfin les miens c'est pas terrible...)



Un petit tour par le BOLERO.
On dit que c'est Django, avec son fameux "Bolero" directement inspiré de celui de Ravel, qui l'a introduit en France.
Comment résister à "Quizas Quizas Quizas", écrite en 1947 par le cubain Osvaldo Farres

Siempre que te pregunto
Que, cuándo, cómo y dónde
Tú siempre me respondes
Quizás, quizás, quizás

Y así pasan los días
Y yo, desesperando
Y tú, tú contestando
Quizás, quizás, quizás

Estás perdiendo el tiempo
Pensando, pensando
Por lo que más tú quieras
¿Hasta cuándo? ¿Hasta cuándo?

Y así pasan los días
Y yo, desesperando
Y tú, tú contestando
Quizás, quizás, quizás




Transformé en "Perhaps, Perhaps, Perhaps" par Nat King Cole en 1958 (c'est lui qui chante en espagnol ici)

... et en français peu de temps après :

Qui sait, qui sait, qui sait ?
Paroles et Musique: J.Larue, O.Farrès
( Henri Salvador Les sœurs Etienne Luis Mariano...)

Tu jures que tu m'aimes
Bien plus que moi je t'aime
Pourtant je dis quand même
Qui sait, qui sait, qui sait

Tu dis que sur la terre
C'est moi que tu préfères
Que nul ne peut te plaire
Qui sait, qui sait, qui sait

Un soir dans une danse
Une autre s'avance
Déjà ton cœur frivole
Dans sa robe tourne et vole
Ce baiser que tu oses
Poser sur sa joue rose
Tu dis c'est peu de choses
Qui sait, qui sait, qui sait
Tu dis que dans la danse
Les tendres confidences
N'ont guère d'importance
Qui sait, qui sait, qui sait
Qui sait qui sait qui sait qui sait

La preuve est confondante
Frôlant son doux corsage
Lequel est le moins sage
Qui sait, qui sait, qui sait
Qui sait qui sait qui sait qui sait

Pour peu que l'amourette
Te tourne la tête
Vas-tu m'être infidèle
Pour une telle bagatelle

Mais si jamais tu oses
Moi-même je suppose
Ferais la même chose
Qui sait, qui sait, qui sait
Qui sait, qui sait, qui sait





Une interprétation féminine ? Que pensez-vous de celle de "Doris von Kappelhoff" (dite Day) ?





Les français ne sont pas en reste avec le "Boléro d'amour" de Vincent Scotto, le roi de l'opérette marseillaise, composé pour sa "Roberte".
"Ah! le joli bo-lero, pour moi c'est le - plus beau, lorsque ton corps- me frrrô-le !"

Ah! et puis "Historia de un amor", la "love story" espagnole du panaméen-?- Carlos Almaran, francisé par ...Francis Blanche qui savait être tendre!

"The song tells of a man's suffering after his love has disappeared. It may be interpreted that love is a story for a woman but it's just an episode for a man." - nous apprend l'incollable Wikipédia.

Comme on trouve de tout sur le net, vous pouvez donc vous offrir sur cette page un Karaoké (caramba! pas très délicat lui ... attention à l'intro qui ne prévient pas!...)

Si vous la voulez en sonnerie de portable ... c'est là !

Et puis forcément, l'inépuisable "Besame Mucho".
Alors là, mes récoltes sont tellement énormes que je me propose d'en faire une page spéciale...

Quelques "BIGUINES" martiniquaises après notre pantagruélique repas (Ah les rillettes au raifort, la tatin à l'ananas, les salades en-veux-tu-en-voila, le moelleux au chocolat salé (!), et le jaja de jacky ...)
Si vous voulez tout savoir sur la BIGUINE, c'est là qu'il faut cliquer.



La "Béguine à Bango" de Charles Trenet, hum...un peu... colonialiste non ? ...





"Sur ton épaule" d'Alec Siniavine; Franc succès; même Jean Marc a craqué.
"La danseuse est créole" Forcément. De Louiguy.
"Aux îles du soleil" de Marc Langean

Quand le jour paraît sur la mer, aux Iles du soleil, Sous les vents légers, les îlots verts sortent de leur sommeil, Barques et pirogues s'animent et voguent, Dans l'air vaporeux où glissent mes rêves bleus

Et une "Divine Biguine" adaptée de celle de Cole Porter.



Bon mais ...et les MACHICHES et les SAMBAS ??

Ben ... on a pas eu le temps ! (c'est vrai qu'on avait encore 19 Boris Vian à revoir ....)

Boulimique ? Quelqu'un a dit boulimique ??


RÉCAPITULATION DES CHOIX DE CHANSONS
HISTOIRE D'UN AMOUR : Catherine B. Vincent

MAMBO ITALIANO : Corinne

BESAME MUCHO : Philippe

QUIZAS/QUI SAIT : Laurence, Fleury, Patricia (en espagnol)

BOLERO D'AMOUR : Denise

NO MONSIEUR : Martine Bénédicte

DIVINE BIGUINE : ?

AUX ILES DU SOLEIL : Valérie O

SUR TON ÉPAULE : Sandrine Valérie M

LA DANSEUSE EST CRÉOLE : Virginie

TEQUILA : Sandrine ? Valérie M

EL MANISERO : Iris

BRASILEIRA : Patricia